Temple de la Terre

Vous parlez de respect, mais pourtant, vous criez des ordres à votre hôte. Je ne puis que savourer l'ironie.
Vous vous trouvez dans le domaine de Therron. Si quelqu'un ici était en mesure d'exiger quoi que ce soit, c'est bien lui.

Le druide s'assit en attendant le choix du Dieu.

J'ai déjà passé ces épreuves. Je vous laisse mener le chemin

L'escalier de gauche donnait accès à une pièce construite en longueur, contenant une grande table. Des minuscules chaises, selon toute évidence conçues pour les Créations, l'entouraient et au Haut-bout se trouvait un trône de la même taille. Derrière ce trône, un corridor s'avançait pendant encore 15'. Une porte s'y trouvait, 5' avant le mur final

La pièce était vide, contenant seulement des toiles d'araignées et de la poussière. Des petites traces de pas marquaient le plancher, faisant des aller-retours entre la porte et quelques endroit sur les murs. Là où les traces s'arrêtaient, en général, il n'y avait pas de toiles sur la moitié de la hauteur du mur, mais le mur du fond en était dépourvu.

Narcius avanceait prudemment...

Narcius: Cette endroit aurais besoin d'un ménage...

Il avancea jusqu'au mur du fond qui ne possédait pas de toiles, il devait donc avoir servit dernièrement pour empêcher les araignés d'en avoir fait un endroit pour eux... Il s'arrêta devant le mur et chercha des yeux une plaque qui lui aurais permis de passer ou quelque chose puis s'arrêta en voyant une petite fissure dans le bas du mur...

NArcius: Laissons au mortels leur sortilège et leur mécanique compliqué ...

Narcius se changea en eau et passa par la fissure en se matérialisans de l'autre coté du mur il se releva...

Narcius: il y en encore long comme sa?

Derriè lui, la fissure dans le très mince mur se referma aussitôt. Les murs de l'alcôve n'étaient pas aussi lisses, ni aussi dur que ceux du reste du donjon. Ils étaient composés de la même terre que renfermait le marais et un peu partout, les racines du grand arbre s'y infiltraient. L'un des murs affichait un poème encadré par deux torches:

Prends ce que tu dois,
Mais ne soit pas avare.
Sache, ce que tu vois
Ouvre le passage.

Au dessous, un petit autel soutenait un calice plein d'eau. De multiples autres objets s'amoncellaient à son pied, mais seuls étaient déplaçables une torche éteinte, un voile des ténèbres, un talisman représentant le soleil et un de ces petits jouet que les enfants affectionnaient et que l'on nomme virevent.

De l'autre côté du mur parvenait la voix d'Hassan, à peine assourdie par le mur.
Vous avez choisi trop compliqué pour franchir cet obstacle. Pour en ressortir, n'oubliez pas que des personnes sans pouvoir magique ont réussi à traverser le temple entier. Il ne reste plus un très long chemin, n'ayez crainte, mais l'épreuve qui peut être la plus irritante reste encore.

Le mur s'écroula derrière lui. Le druide l'avait apparemment fracassé d'un simple coup de bâton.
Vous avez choisi? Bien. Si vous ne vous êtes pas trompé, nous devrions pouvoir continuer... Enfin, vous le pourrez. Attendez une seconde.
Il sortit un couteau, entra dans l'alcôve et en retira quelque chose.
Voilà. Je suis prêt à continuer.

Alors que le Dieu et le druide s'approchaient de la sortie, plusieurs Créations accoururent pour réparer le mur brisé.

Si tout se passe bien, quelques unes à peine, mais le nombre peut grandir infiniment si nous choisissons le mauvais chemin.
Il prit à gauche en sortant de la pièce et traversa le mur pourtant tout à fait solide et sans faille pour Narcius. Après quelques instants, il revint et aperçut le calice dans les mains du Dieu.
Je vois... Vous n'irez pas bien loin avec ça... La clé se trouve dans l'alcôve. Vous n'avez qu'à aller la chercher, je vous attends ici.

La pièce était identique à ce qu'elle était lors de la première visite de la paire. Le mur du fond, que Narcius savait maintenant assez fragile pour se briser facilement, était réparé et contenait toujours l'alcôve et les multiples objets.

J'arrivai, a l'improviste malheureusement et vit alors Narcius et un homme dont même ma mémoire ne put replacer.

- Je suis navré d'être arriver de cette manière. Pardonner mon offence.

Je fit une révérence au 2 hommes et regarda le druide.

- Tu es un serviteur de Therron je supose. Puis-je savoir si je peux lui parler un peu ou dois-je attendre? Je comprend que Therron doit être occuper et j'ai une grande patience.

Je marquai une pose et lui présenta ma main.

- Escuse-moi, j'ai oublier de me présenter. Je suis Sylvania, déesse de la vie et de la lumière. Ravie de te rencontré, mais dit-moi, puis-je avoir l'honneur de savoir ton nom?

Les murs de l'alcôve n'étaient pas aussi lisses, ni aussi dur que ceux du reste du donjon. Ils étaient composés de la même terre que renfermait le marais et un peu partout, les racines du grand arbre s'y infiltraient. L'un des murs affichait un poème encadré par deux torches:

Prends ce que tu dois,
Mais ne soit pas avare.
Sache, ce que tu vois
Ouvre le passage.

Au dessous, un petit autel soutenait un calice plein d'eau. De multiples autres objets s'amoncellaient à son pied, mais seuls étaient déplaçables une torche éteinte, un voile des ténèbres, un talisman représentant le soleil et un de ces petits jouet que les enfants affectionnaient et que l'on nomme virevent.

((dsl mais sa c du déja vue la ...))


[[Je sais, mais tu as choisi d'y aller... Édite ce message pour y mettre ta réaction face à l'alcôve, svp]] —Kieran

Je mit une main sur l'épaule de Narcius et lui sourit.

- Vois mon amis les bonnes oeuvres. Sache que la patience est la clef avec Therron. A mes souvenirs, il aime les gens qui ont une grande patience. Et il aime mettre cettes qualités a l'épreuve. Cela dit, je crois que mon devoirs de déesse doit-être a mon temple, si Therron pourra m'accorder un peu de temp, je reviendrai le voir. Je crois que présentement ma place est près des miens et je ne vais pas encombré ses lieux plus longtemp. Passez un aggréable séjour.

[Retour au Temple du Bien]

Au millieux des discutions un grand bruit se fit entendre. c'était les grande porte qui venais de souvrir violament . Pousser pas le vent qui venais des marais elles heurtèrent les mur de terre. Au millieux de l'ouverture un jeune homme avenssait et senblait presser. Se dirigens vers le prêtre il s'agenouilla et l'on pus apersevoir sa peau d'écail et ses branchit. Il leva sa tête et demanda:

- Gardien de ces lieu sacré auriez-vous vue ou entendue parler d'un pilleur de temple qui roderais dans les environs?

Il se foutait d'avoir ainsi perturber les conversation mais pour lui sa quête était beaucoup plus importente que se qui se passait ici.

Narcius en eu marre de toute ces conneries, le labyrinthe, les énigmes et juste l'Attente avant de prendre tout sa Narcius en avais ras le bol.

Narcius: SA SUFFIT JE SUIS UN DIEU MOI. JE N'AI PAS A ME SOUMETTRE AU PÉRIPLE DES MORTELS J'AI DES CHOSES PLUS SÉRIEUSE A M'OCCUPER. DONC DRUIDE ÉCOUTES BIEN MES PAROLES JE VEUX ET J'EXIGE DE RENCONTRER THERRON IMMÉDIATEMENT !!! QU'IL VIENNE ME REJOINDRE A MON TEMPLE !!!

La voix de Narcius avait amplifier a un point tel que même les murs du temples avait trembler on voyait dans son regards un oeil mauvais qui montrais a qu'elle point il était faché ensuite il disparu vers son temple...

(( SUITE AU TEMPLE DE L'EAU ))

Peu impressionné par le départ du Dieu de l'eau, après tout celui-ci n'avait pas fait preuve d'une grande patience depuis son arrivée ni d'un grand respect envers le Dieu de la terre, Kieran était néanmoins surpris par son arrogance.
"Je suis un dieu", imita-t-il outré. Enfin. Si Therron ne prend pas offense...

Il se tourna vers la Déesse aux cheveux de feu qui avait suivi silencieusement.

Désirez-vous continuer, ma dame, ou plutôt imiter votre frère? Therron, je le sais, ne refuse jamais de voir qui que ce soit qui prend la peine d'atteindre son Autel souterrain, mais si vous vous êtes dégoûtée de votre quête, je ne peux rien y changer. Que la lune vous aide à faire un choix éclairé.

Hassan, qui était resté agenouillé pendant très longtemps, se leva pour guider la déesse qui était apparu devant lui.
Enfin quelqu'un se décide à finir ce qui avait été commencé.
Il arracha deux petits morceaux de racine dans l'alcôve des Éléments et en donna un à Sylvania.
L'autre n'avait pas compris qu'il s'agit d'un temple à la terre et non pas universel. C'est votre clé, pour la chambre de Therron.
Il sortit de la petite pièce et passa au travers d'un mur se trouvant un peu plus loin. Au delà de la barrière, sa voix indiquait à la déesse de le suivre.

La Dernière Chambre de Therron avait une atmosphère d'ultime repos auquel nul ne pouvait s'attendre. Il s'agissait simplement d'un pièce grossièrement taillée dans le roc, surtout lorsqu'on la comparait au reste du donjon, au plafond de laquelle des banderoles affichant l'Histoire même de la Terre depuis sa naissance pendaient. Au milieu de laquelle se trouvait un énorme tombeau surmonté d'un gisant de pierre représentant un nain. Le gisant avait des traits extrèmement bien sculptés et dans sa poitrine était un trou béant de la taille environ d'un coeur humain. Plus le duo se rapprochait du tombeau, plus les banderoles racontaient des évènements récents. Au-dessus même de la structure, certaines rapportaient un futur imprécis. Sur la tombe, des runes et des glyphes nains et elfiques énonçaient plusieurs scénarios possibles pour la fin du monde.
Hassan observait le sépulcre intensément. Il portat une main à son cou et en tira une gemme un peu moins grosse que son poing. Ce faisant, son habituel capuchon tombat sur ses épaules, révélant des oreilles légèrement pointues, signe évident d'un héritage elfique. Partout sur son visage se lisait le bonheur d'avoir l'honneur d'éveiller son Gardien et pourtant, une faible tristesse ternissait quelque peu son regard...